« Je fermerai partout portières et volets »
10/10/2014 § Poster un commentaire
« (…) Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde,
Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde;
Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité,
Et les grands ciels qui font rêver d’éternité. (…) »
Paysages – Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal
Photo Yves Rougy